Pour diverses raisons d’ordre socio-politiques le « boycot » des cours prend plus d’ampleur que son objet officiel. Ebranler en crescendo les bases du pouvoir provincial pour acquérir du pouvoir risque de donner lieux à dess dérapages malheureux. Les étudiants des précaires classes laborieuses sont en train d’y perdre. IIs ont pourtant besoin de continuer à croire que les diplômes peuvent leur servir de viatique vers la classe moyenne. Le corps étudiant est loin d’être un corps monolithique. Les sans voix de cette grande famille pouraient avoir besoin d’être écouté et rassuré.
Pour diverses raisons d’ordre socio-politiques le « boycot » des cours prend plus d’ampleur que son objet officiel. Ebranler en crescendo les bases du pouvoir provincial pour acquérir du pouvoir risque de donner lieux à dess dérapages malheureux. Les étudiants des précaires classes laborieuses sont en train d’y perdre. IIs ont pourtant besoin de continuer à croire que les diplômes peuvent leur servir de viatique vers la classe moyenne. Le corps étudiant est loin d’être un corps monolithique. Les sans voix de cette grande famille pouraient avoir besoin d’être écouté et rassuré.
By: George Carani on 20 mai 2012
at 14:34