MOOC tient pour « Massive Online Open Course ». Plusieurs institutions universitaires s’y intéressent, dont HEC Montréal (Edulib), MIT (MIT Open Courseware) et Harvard (Open Learning Initiative). De quoi s’agit-il ? D’un exercice en cours qui vise à offrir des cours en ligne gratuitement. Les cours sont adaptés au média de transmission, évalués et non crédités … en tout cas, pour l’instant. Parce qu’en la matière, tous les modèles d’affaires sont possibles. De beaux enjeux en perspective, pour les enseignants, les universités et les étudiants en quête de connaissances, sans les diplômes. Selon l’Institute of International Education, 61 % des étudiants inscrits dans des MOOC proviennent d’Asie, notamment de la Chine
Pour en savoir plus :
- Science, Technology, and Society in China I: Basic Concepts (The Hong Kong University of Science and Technology)
- Asia’s first MOOC draws students from around world (University World News, avril 2013)
- Beyond the MOOC Hype: Answers to the Five Biggest MOOC (EvoLLLution NewsWire, avril 2013)
- A MOOC Article a Day: Three Themes To Watch (Institute of International Education, janvier 2013)
Je n’aurais jamais pensé que la majorité des étudiants suivant un programme par MOOC venaient d’Asie et surtout de Chine !
Ce type de cours est pourtant encore très américanisé (je pense notamment à Edx), les profs sont américains, les méthodes et la vision sont américaines.
Les MOOC passent donc sans problèmes à travers la censure du Web chinois ?
Merci pour l’article.
By: Mylène P. on 15 juin 2013
at 05:00