Ces temps-ci, le nombre des articles de périodiques sur autre chose que le yuan et les relations sino-américaines rivalise avec celui des percées chinoises partout dans le monde. Nouveau colonialisme, invasion culturelle et rêves de domination seraient autant de modulations de l’avancée chinoise. Pour la plupart, sous le couvert de l’information, les médias entretiennent des peurs solidement enchâssées en Occident et entretenue grâce aux propos d’exotisme et d’inaccessible tout aussi populaires. Dans les fait, savoir permet de prévoir et d’explorer des terrains de cohabitation et de coopération. Concrètement, comme je ne nous trouve pas plus bêtes que les Chinois, je me dis que nous pouvons apprendre à mieux faire les choses. Personnellement, je m’informe, j’apprends et je réfléchis, notamment en parcourant de façon intelligente le numéro d’avril du Courrier International consacré au sujet. Je me dis « If you can’t beat them, join them ». Se braquer rapporte rarement beaucoup
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